Petite visite

L se rappellait des fois des evenement du passé et ceux qui etait proche de ce meme passé
c'etait pourquoi il se rappellait a present de khaos
il se rappelait aussi de sa petite " crise "
aussi avait il choisi de faire profil bas et de lui faire un petit cadeau
cadeau qui ,il en etait sur lui plairait certainement
il toqua donc a la porte de khaos

Mardi 24 Mai - Début de soirée

Khaos était en plein nettoyage de ses armes quand un invité se présenta à sa porte. Il s'essuya rapidement ses mains graisseuses. Une douzaine de couteaux traînaient sur son bureau avec des larmes aux formes exotiques et son Beretta 9000 S gisait en kit. Il soupira et se dirigea vers la porte. Ce n'était pas Naël. Il le savait. Il jetta un oeil au visiophone, et ouvrit la porte, un sourire poli sur ses lèvres pâles.

- "Bonsoir, monsieur Tailor. Que puis-je pour... vous ?" Il avait hésité un peu. Tutoyer Lind alors que ce dernier avait oublié son existence, aurait été incorrect.

L avait patienté mais ca avait payé
devant lui se tenait khaos plus grand et un peux plus mince que les dernieres fois ou il se rappellait l'avoir vu
il commencait vraiment a ce faire beau
il sourit en retour a son vis a vis mais peut etre pas pourla meme raison
" bonsoir khaos , je suis venu m'excuser pour ma petit crise au restaurant, je suis vraimentdésolé de t'avoir montré dés le debut cette vilaine facette et donc j'ai quelqu'un qui devrait te rappeler des souvenirs"
il lui tendit une petite boite en carton qui faisait a peine la taille d"un protege cd
et dedans se trouvait un minuscule lapin, de quelques heures un petit albinos comme il les aimait

Len sortit en trombe de la pièce pour se placer dans le dos de Lind. Ce dernier émettait de douces émotions amicales. Khaos réalisa avec stupeur et soulagement que le jeune homme en face de lui avait regagné sa mémoire, au moins pour un temps. L'albinos lui offrit un sourire franc, un vrai sourire spontané. Il s'effaça afin de laisser rentrer son visiteur inattendu. Khaos prit la boite avec attention.

- "Whaaa... Il est mimi !" Ses yeux brillaient d'intérêt. Ca faisait bien longtemps qu'il n'avait pas vu un lapereau aussi petit. "Tu as retrouvé tes souvenirs ? Je suis rassuré."
La pelote de poil blanche était bien trop fragile pour survivre loin de sa génitrice. Trois mois était nécessaire au sevrage du rongeur. Khaos était touché que Lind lui ai apporté.

- "Tu me laisses ranger deux trois bricoles, et on le rapporte au près de sa maman." La voix de l'albinos aux accents mélodieux pétillait de joie. Khaos remonta en un clin d'oeil le Beretta et attrapa trois lames qu'ils dissimula sous sa chemise. L'ambiance était trop tendue pour sortir sans armes.

L rentra et constata que khaos n'avait pas perdu sa manie de la propreté il resta un moment debout avant de s'assoeir sur une chaise libérée de lames
il entendit avec plaisir les cris d'emerveillement de khaos
" il s'appelle miru " dit il en s'approchant de khaos
il savait que miru etait de loin son lapin favori
il fit un sourire triste
" pour le moment je me rappelle que de toi et je ne sais pas combien de temps cela va durer "
il sourit en voyant khaos ranger ses armes sur lui
" ne t'inquiete pas pour lui, il peux largement survivre donne lui juste a manger et tu verras, cadeau a toi et a len "
puis bizarrement il se mit a sourire en plein dans la direction de len

"pourquoi tout cet attirail on va se faire attaquer ?"

Khaos enregistra l'information au sujet de l'état de Lind. L'amnésie de ce dernier n'était donc pas guérie. Khaos partagea la douleur du brun, il ne pouvait pas s'imaginer une vie où en ce levant le matin il aurait oublié ses proches...

L'albinos sourit à la remarque sur son artillerie.
- "Déformation professionnelle ! " Il ne tenait pas à parler du danger actuel qui rodait dans le Réseau. Et de tout façon, un tueur compétent ne se baladait jamais sans ses jouets, même si dans le cas de Khaos, il préférait de loin le travail manuel.

L'albinos reporta son attention sur Miru et son museau frétillant. Il lui gratta les flancs.
- "Il te reste des cages de libre que je pourrais t'emprunter ? Ce petit bonhomme a besoin d'un maison plus adéquate." Dit-il en désignant le carton.

L regardait khaos
khaos et les lapins s'etait une grande histoire
autant khaos aimait les lapins, autant ces derniers l'adorait
si si il avait fait des prises de sang peu apres une de ses visites qui avait revelé un taux d'endorphine elevé

il lui sourit quand il songea a sa deformation professionelle
lui aussi en avait une belle
enfin belle
tout dependait de quel point de vue on se placait
" ne t'inquiete pas pour la cage il en a une de reservée avec un petit copain histoire qui ne se sente pas trop seul " l savait meiux que personne a quel point la solitude etait difficile

" khaos tu peux garder un secret ? " il avait chuchoté cela comme s'il craignait qu'on le prenne en flagrant delit

Lind pensait à tout. Il s'était toujours occupé des animaux du labo avec zèle et affection, même quand ces derniers étaient destinés à des expériences fatales. L'albinos appréciait cette attention particulière dont le jeune homme faisait preuve. Mère l'avait élevé dans le respect de la vie, ce qui semblait incompatible avec son métier.
- "Merci Lind, ton cadeau me touche beaucoup, vraiment."

Khaos glissa sa main sous l'abdomen du lapereau, le sortit de la boite avec d'infinies précautions et le prit contre lui. Miru se blottit immédiatement contre la source de chaleur. Un sourire serein flottait sur le visage de Khaos.
*Un secret?*
- "Bien sûr, tant que cela n'affecte pas la sécurité du Maître ou du Réseau."

Lind aimait beaucoup les animaux
en fait il aimait toute vie quelle qu'elle soit
il lui aurait paru incorect de ne pas traiter avec le meme respect humain et animaux
et puis voir ce petit sourire sur le visage de khaos valait bien cela
- alors je suis heureux que cela te plaise tu a juste a me prometre de prendre bien soin d'eux mais ca j'en suis deja sur

puis il se reprit
- tu sais khaos comme tu l'a remarqué ce lapereau ne pourrait pas survivre loin de sa mere en fait ce petit aurait du mourrir de meme pour son compagnon s'ils on survecu c'est grace au produit que je leur ai injecté ce produit facilite le devellopement des voies respiratoires et ameliore le fonctionnement des organes sans parler du sang et il aide au renouvellement des celulles de defense seulement ce produit je ne l'ai pas gardé pour moi ou pour le reseau ... j'ai cpnfié un echantillon de ce produit a un laboratoire s'occupant de prematurés

Leto était extrêmement fatigué après ses cinqs jours de mission à l'extérieur du Réseau. Cela faisait une paye qu'il n'avait plus fait cela, la reprise fut dure et rude, même si les "bonnes" habitudes n'avaient pas disparu.
Leto ne jouissait plus de sa notorièté d'antan et renouer avec ses anciens indicateurs n'était pas une mince affaire. Surtout qu'il ne voulait pas ébruiter son "retour".

Cependant, la pêche fut bonne: malgré quelques coin d'ombr. Il avait bossé en élève studieux, il avait eu tout ce qu'il voulait savoir, voire même un peu plus. Il s'était empressé de rentrer au Réseau car l'impatience de dénouer le noeud lui taraudait l'esprit.

C'était donc avec 10 heures de route dans les pattes qu'il se présenta à la porte d'un certain agent de récupération, sans passer par la case "chambre". Il frappa trois fois.

Khaos écouta Lind sans l'interrompre. Il savait qu'il était calé en biologie animale mais il ignorait son caractère philanthrope. Dans le Réseau, ce type d'attitude coûtait souvent la vie. Lind était un proche, il menait sa vie comme il l'entendait. Tant qu'il ne trompait pas l'organisation, Khaos ne dénoncerait pas ses activités. Cependant, la période était peu propice aux détournements ou au dissimulations de résultats scientifiques. Dans la formulation des phrases de Lind, quelque chose dérangea Khaos.

- "Si tu n'utilises pas le fruit de tes recherche pour le Réseau alors que, pour les mener à bien, tu te sers de notre argent et de nos installations, ton comportement peux être assimilé à une trahison. Tant que le produit aide nos agents, et nos lapins – Il lui fit un clin d'oeil tout en câlinant Miru, installé confortablement dans sa main – le reste ne me concerne pas. Mais, méfies-toi, l'ambiance est à la suspicion générale, alors, ne fais-rien qui puisse attirer l'attention des dirigeants."
Le visage de Khaos se transforma, le mode mission transparaissait dans son regard. Il ajouta, sérieux :
- "Je détesterais recevoir un ordre de récupération avec ton nom."

Il était sincère, même si la mémoire de Lind effacerait peut-être demain tout souvenirs de leur relation, l'albinos voulait que le jeune homme vive tranquille. Il avait déjà perdu beaucoup.
Les coups à la porte figèrent l'albinos. Il remis le lapereau dans la boite et consulta l'écran du visiophone : Brahman.

*Merde !*

Khaos débarrassa en quatrième vitesse les armes qui traînaient sur le bureau et planqua le tout dans l'armurerie. Il arrangea le holster du Berreta et enfila sa veste en lin sous le regard interloqué de Lind. Cinq secondes plus tard, il avait son masque d'enfant sage et s'apprêta à ouvrir la porte.

L savait qu'il jouait a un jeu dangereux
il savait aussi que rien ne forcait khaos a garder cela pour lui
il savait aussi ce jour la que rien ne l'aurait empecher d'envoyer ce colis
"khaos, je ne te demande pas ton silence, mais je sais plus que quiquonque ce le reseau peut nous prendre j'ai pris les precautions on ne peux plus suffisante pour assurer la confidentialité de l'echantillon et l'echantillon sers encore a nos agents seulement aucun n'est revenu en si mauvais etat que son utilisation soit recommendée"
il etait lui aussi déterminé
puis khaos detourna son attention et verifia qui avait sonné
cela ne devait pas etre un ami puisqu'il rengea tout avec une vitesse impressionanted'ou le regard un poil interloqué qu'il posa sur son protégé
ils s'assit convenablement sur sa chaise
une attitude detrontarcté mais un peu serieuse

Khaos se composa un sourire poli, juste légèrement forcé. Il n'avait aucune idée que ce qui motivait la venue du logisticien râleur et cynique. S'il s'agissait de parler boutique, Khaos préférait éviter que cela se fasse devant Lind, surtout que Brahman risquait d'employer le même ton que mardi. Peut-être que les deux agents se connaissaient déjà ? L'albinos en doutait. Il se dit qu'il avait dû offensé un kami pour ne jamais réussir à être peinard avec ses amis. Câliner la boule de poil et discuter avec le brun aurait été tellement plus agréable.

Enfin, la mission passait avant tout. Il ouvrit la porte mais n'invita pas l'agent à entrer.
- "Bonsoir, monsieur Brahman." Khaos résista à l'envie de lui demander s'il s'était paumé dans le couloir et avez frappé à la porte par hasard. Il laissait au fumeur le soin d'ouvrir les hostilités. "Que puis-je pour vous?"

Leto attendit un petit moment avant que l'on daigne lui ouvrir la porte. L'albinos parut toujours en bon petit adolescent poli et gentil mais Leto ne se laissa pas tromper par cette apparence, pas d'après ce qu'il savait maintenant...

" 'Faut qu'on parle!" dit-il sans détour mais en restant sur le seuil de la porte. Il ne tenta pas de forcer le passage sachant que cela aurait pu être à ses risques et péril.

Il aperçut par l'entre baillement de la porte, un jeune homme brun assis. Il ne connaissait pas cette personne mais savait qu'il s'agissait du responsable des zones de tests.

"...Seul!" ajouta-il.

Le ton et l'agressivité de Brahman agacèrent l'albinos. Le logisticien était fatigué, de mauvais poil et très préoccupé. Khaos su qu'il n'écharperait pas à l'entrevue. Adieu le calinage de Miru et la conversation amicale avec Lind qu'il venait juste de retrouver; il préférait oublier leur rencontre de la semaine dernière.
Le fumeur devait sans aucun doute avoir une excellente raison pour se pointer à sa porte, mais elle n'excusait en rien son incorrection. Alors, autant s'en amuser un peu. Le tueur ne se départit pas de son sourire et d'une voix douce et ferme il déclara :

- "Monsieur Brahman, vous n'êtes pas en position de m'ordonner quoi que ce soit." La violence des émotions émises par le visiteur indésirable grimpa comme un thermomètre plongé dans l'eau bouillante. "De plus, j'ai des invités et il serait fort discourtois de ma part de les congédier sans raison valable."
Il n'avait pas besoin de son empathie pour être certain que son interlocuteur était très en pétard, peut être même à deux doigts de perdre le contrôle. A la périphérie de son champ de vision, Khaos repéra Lind bouger. La tension dans le couloir se fit soudain palpable.

En entendant le sale gamin albinos lui répondre de la sorte, le sang de Leto ne fit qu'un tour. Son poing partit comme un ressort et frappa violemment le cadran de la porte.

Sa tension descendit un peu mais il se maitrisa davantage afin de parler d'une voix calme.

" Je ne viens pas pour une visite de courtoisie, ça c'est sûr! Mais je ne suis pas encore assez dérangé pour venir compter fleurette à cette heure et à cette porte!!! murmura-t-il entre ses dents serrés. Et crois-moi, ça n'a rien avoir avec de la végétation la raison pour laquelle je suis ici!!!"

Leto planta son regard vert perçant dans ceux écarlates de l'adolescent. Lui n'avait pas du tout envie de plaisanter au vue du comportement de son interlocuteur et il voulait bien le lui faire comprendre sans trop se dévoiler devant autrui.

L etait plutot le genre a laisser les autres discuter tranquillement entre eux
tranquillement etait le maitre mot
de plus il n'aimait que peu ce meler des affaires des autres
mais il entendi un coup
certes il n'etait pas contre khaos
mais c'etait assez etrange
alors il s'avanca
" un souci khaos ?"

Quand le coup parti, Khaos ne cilla même pas. Lent, si lent... Pauvre porte quand même. Son sourire intact sur ses lèvres roses, il s'autorisa un peu de surprise aux paroles de Brahman. Pourquoi le type parler de botanique ? Et il le tutoyait !

Khaos avait horreur de se faire tutoyer par un autre agent sous prétexte qu'il avait l'air d'un gosse tout mignon. Soit le brun avait des soucis à garder le contrôle, soit il ne le respectait pas. Dans ce cas, inutile de poursuivre la conversation.

- "Je n'aime ni votre violence, ni votre familiarité. Je vous répète donc – sa voix devint très douce, comme pour expliquer quelque chose de complexe à un enfant un peu niais – que je ne discuterais pas seul avec vous à moins d'une raison valable."

Lind s'approcha, nerveux. Khaos fit un hochement négatif de la tête, avec un vrai sourire amusé. :
- "Monsieur Brahman est juste irrespectueux." Il se retint d'ajouter "super en colère" et "incapable de se maîtriser", se doutant que l'agent risqué vraiment de péter un cable. Tout dans son comportement exprimait une très grande fatigue. "Par contre je crains que le bruit n'ait effrayer Miru..."

Leto sauta sur l'albinos et lui tordit le cou.

Dieu que cela l'aurait soulagé en tout cas, mais Leto adopta une autre stratégie. Visiblement, le mioche ne voulait absolument pas le laisser entrer, ce qui ne l'étonna pas du tout: lui-même n'aurait pas laissé entrer dans sa propre chambre un type à l'allure débraillé, tard dans la soirée et pas franchement amical!

Il fouilla alors dans sa poche de pantalon: il avait décidé d'abattre sa dernière carte - ou plutôt la première -...

" Franchement je ne comprend rien à ce que tu racontes ou à qui tu parles mais moi je n'ai pas l'intention de camper ici ni de ne pas avoir de réponse!" - sale petit con!- dit-il en le pensant très fort.

Il balança alors à l'adolescent une petite pilule, en espérant avoir fait mouche.

" Je te conseille de changer de transporteur la prochaine fois... Ceux-là ont tendance à se faire descendre pendant leur livraison..."

La réaction de Khaos fut instantanée. Il passa immédiatement en mode mission, ce qui eut pour conscience l'évaporation de son aura, un moyen pratique de déstabiliser son visiteur. Il attrapa au vol la pilule d'un mouvement trop rapide pour être perçu par les yeux d'un humain et chopa Brahman à la nuque et à l'épaule gauche d'une prise parfaitement maîtrisée.

D'un geste fluide, il l'entraîna dans la chambre, ferma la porte d'un coup de pied et le plaqua au mur. Ses yeux n'avait plus rien d'humain. Il était furieux mais rien ne filtré. Un cadavre aurait eu plus de présence. Khaos enregistra vaguement le sursaut de Lind.
Il ne réalisait pas vraiment sa vélocité d'action. Tout la scène n'avait pas durée deux secondes. La main sur la gorge du brun ne lui permettait pas de s'exprimer, juste de respirer avec difficulté. Il desserra légèrement ses doigts.
Il voulait juste l'immobiliser et l'empêcher de prononcer un mot de plus en présence de son ami. Ce n'était pas après Brahman qu'il en avait, mais après celui qui avait buter son coursier, trois mois auparavant. Ce type avait entraîné une réaction en chaîne qui lui avait coûté la mort, certes, elle n'avait pas durée longtemps. Il n'oubliait pas la panique ravageuse ressentie. Et ce mec là, il voulait le buter. A mains nues.

Un voix mélodieuse s'éleva. Le pauvre agent cloué au mur frissonna.
- "Lind, je suis désolé, mais je dois causer boulot avec monsieur Brahman. Tu veux bien nous laisser? Je passe te voir tout à l'heure." Khaos s'excusait, un peu gêné de la situation. Il aurait préféré passé sa soirée avec le responsable, mais la mission passait toujours avant.

La surprise avait cédée le pas à la peur chez l'agent qu'il maintenait toujours. Khaos lui offrit un magnifique sourire, qui d'expérience, collait encore plus la frousse – même s'il ne comprenait pas pourquoi -.
- "Monsieur Brahman, je crois en effet qu'une conversation s'impose. Je vous prierai cependant de rester poli à mon égard. Rien ne vous permet ne me tutoyer. Nous ne sommes pas encore ami." Les lèvres de l'albinos s'étirèrent encore, dévoilant des canines aiguisée. Avec délicatesse, il relâcha lentement sa prise sur l'agent afin de permettre à son organisme de récupérer et surtout ne ne pas se vautrer lamentablement.

effectivement , malgré les paroles de khaos il y avait un souci
et le dit souci tronait dans le salon une main sur la gorge
L aurait du etre surpris
il avait meme laissé passer un sursaut , il ne se souvenait pas de voir khaos aussi rapide
il y avait aussi des années qu'ils ne s'etaient pas vus
L soupira sa soirée aurait pu etre tellement agréable et voila que ce "souci" ce permettai de la lui gacher
" je vois que tu es occupé khaos, je prends mon petit colis et m'en retourne chez moi, passe dans ma zone pour le reprendre ce fut un plaisir bien trop court que de faire votre connaissance monsieur brahman "*

L pris Miru et sa boite en main et sorti de la chambre apres avoir consciencieusement fermé la porte

" j'espere qu'il traite autremant ses amant ..."

Leto n'avait pas eu le temps de réagir qu'il se retrouva plaquer au mur, une "tenaille" lui serrant la gorge à la limite de l'évanouissement.

Malgrè l'inconfort de sa situation, sa manoeuvre avait fonctionné. Il était maintenant dans la chambre du tueur et son compagnon allait sortir pour qu'ils aient tous les deux une petite conversation... Mais bizarrement cela ne le rassura pas non plus...

" Il y a de fortes chances qu'on ne soit jamais amis!" répliqua-t-il à l'adolescent, une fois que le responsable ferma la porte. " On peut commencer?... J'ai envie de rapidement prendre une douche!"

L'ironie n'était peut être pas la bonne façon de commencer cet entretien, étant donné la situation délicate dans laquelle Leto se trouvait, mais on ne changeait pas non plus les "bonnes" habitudes!

Khaos salua Lind de la tête quand il quitta la pièce. Son envie de meurtre transpirait par chaque pore de sa peau. Brahman n'y était pour rien, en plus il lui apportait des réponses. L'albinos eut la certitude que sa première impression sur le bonhomme était juste. La peur refluait et laissait place à la colère. Khaos eut un sourire enfantin, légèrement espiègle.

Il s'écarta de Brahman, en prenant garde le limiter sa vitesse et de faire un peu de bruit, histoire de paraître humain et surtout, de ne pas ajouter de stress inutile à son visiteur.
- "Retirez-vos chaussures, s'il vous plaît. Je vais vous préparer une collation." L'homme était épuisé, il réfléchirait mieux avec l'estomac plein.

L'albinos fila dans le coin cuisine, tourna le dos à Brahman qui observait la pièce d'un oeil circonspect. Khaos savait que l'ordre militaire et les couleurs de son appartement tendaient à mettre mal à l'aise. Le lapin était une exception. Pourtant, un plafond presque noir et des murs écarlate, lui, il trouvait cela vraiment reposant. Enfin, sa vision était différente du commun des mortel.
Brahman fouilla dans sa poche. De la cuisine, Khaos l'interpella :
- "Merci de ne pas fumer ici." L'albinos retourna à sa préparation. Quelques sandwichs, du jus d'orange, du thé vert et des sembés. Au passage, il sortit son mobile et envoya un mail à Naël lui demandant de ne pas venir à l'appart pour l'instant. Il ne voulait pas que son lapin atterrisse ici au milieu de la conversation. Un autre mouvement dans la pièce. Un changement dans les émotions de Brahman.
- "Ah, je vous pris de laisser retourner le cadre sur la commode. C'est une info de niveau 1." Un moyen poli de dire " Si t'y touches, t'es mort". Khaos revint dans la pièce portant avec dextérité un plateau de la main droite. Il déposa le tout sur la table basse et fit signe à l'agent de s'asseoir.
- "Je vous écoute monsieur Brahman."

Leto se sentit plus à l'aise une fois l'albinos loin de lui. L'impression désagréable et morbide qui l'avait étreint se dissiper avec la distance. Encore une sensation étrange qu'il ne saurait expliqué.

* On se calme... On est pas dans un manga ici!... Il ne va pas me sortir une boule de feu de ses mains!!!*

Quoi qu'il pensa, cela ne le rassura pas totalement sur le gamin aux capacités extraordinaires, qui se dirigeait tranquillement vers la cuisine.

"Retirez-vos chaussures, s'il vous plaît. Je vais vous préparer une collation."

Leto émit un grognement qui devait être un condensé entre le mécontentement d'enlever ses chaussures et un mot de gratitude pour le repas. Mais les habitudes japonaises du gamin le renforça dans sa méfiance.
Il inspecta l'appartement du regard, qui ne lui fit pas une bonne impression non plus.

* C'est pas un endroit pour se reposer ici?!... Avec cette odeur de poudre et de graisse... Il doit pas jouer à la poupée...*

Sa bouche se fit sèche. Il fouilla alors dans sa poche pour sortir une cigarette.

"Merci de ne pas fumer ici."

Leto ressortit sa main de la poche en jurant muettement. Son regard se posa sur un cadre retourné, posé sur une commode. Il s'apprêta à le retourner machinalement quand la voix du gamin retentit.

"Ah, je vous pris de laisser retourner le cadre sur la commode. C'est une info de niveau 1."

* Info niveau 1... Mon cul oui!*

Mais Leto n'insista pas, comprenant parfaitement le sous entendu lancé. Khaos revint dans la pièce en portant un plateau repas qu'il déposa sur la table basse. Leto reçut l'autorisation de s'asseoir et il se laissa tomber sur les coussins qui jonchaient le sol, ses muscles fatigués en avaient bien besoin. Il jeta un coup d'oeil aux boissons en faisant la moue... Ce n'était pas grave... Il avait tout ce qu'il fallait chez lui, alors autant en finir rapidement.

" Je ne viens pas pour faire copain-copain... Mais les derniers évènements qui se sont passés au Réseau ne me laissent pas trop le choix..." commença-t-il. " Je propose du donnant-donnant, sans explication..."

Leto parlait d'une voix assurée. Il savait ses informations fiables et intéressantes pour le gamin et il était certain que ce dernier savait des choses qui l'aiderait à démêler le sac de noeuds qu'il avait senti. Maintenant, il se trouvait dans un cas inconfortable d'une négociation où les cartes étaient inconnues et la mise colossale.

Khaos s'installa en tailleur et servit le thé avec grâce et application. Son visiteur avait repris du poil de la bête. Bien. Le tueur ferma les yeux et, quelques secondes plus tard son regard avait changé. Il avait abandonné le mode normal. Brahman l'avait vu en pleine action, s'il restait avec son attitude d'enfant sage, il continuerait de dérouter l'agent. Alors, autant lui montrer sa vrai nature féline et létale.

Brahman pourrait l'aider là ou Myoko-san était inutile. L'agent avait assez de trempe pour se frotter à Père. En plus son poste au services de logistique était un atout précieux, surtout à la lumière des étranges connections avec le service de Récupération et surtout son ancien responsable mis à jour par les calculs de Naël.

Il fixa ses prunelle rubis dans les yeux trop sombres du brun et acquiesça à sa demande.
- "Avant tout, j'ai besoin de trois réponses." Elles conditionnerait le déroulement de l'entretient. Si Khaos faisait instinctivement confiance à Brahman pour son engagement dans le Réseau, il préférait s'en assurer. Il énonça d'une voie mélodieuse et pourtant vaguement inquiétante dans son sérieux si formel les questions suivantes : "Est-vous fidèle au Réseau ? Est-vous fidèle au Maître... au Directeur ? Pourriez-vous les trahir ?" Khaos ouvrit sa conscience et guetta les réactions de son interlocuteur.